Pleins feux sur une année marquée par l’innovation et les avancées dans la recherche consacrée à la SP
Recherche sur la SP – Revue annuelle 2025
Alors que l’année tire à sa fin, nous tenons à marquer un temps d’arrêt pour revenir sur les progrès remarquables auxquels nous avons contribué ensemble au chapitre de la recherche sur la SP, domaine dans lequel les progrès se poursuivent à un rythme accéléré grâce au pouvoir de la collectivité de la SP. L’année qui est sur le point de s’achever a été marquée par l’émergence d’idées transformatrices et le déploiement d’efforts collaboratifs qui continuent de modeler notre compréhension de la SP. Ensemble, jetons un regard rétrospectif sur les faits saillants de l’année écoulée, soulignons nos réalisations communes et ouvrons la voie à de nouvelles possibilités exaltantes.
Uniquement en 2025, nous avons affecté 9 millions de dollars à la recherche, ce qui porte nos investissements dans des études menées actuellement à 34 millions de dollars. Cela a été rendu possible seulement grâce aux formidables contributions et au généreux soutien des membres de la collectivité de la SP, notamment les personnes atteintes de SP, les participants et participantes à nos événements, des bénévoles, des collecteurs et collectrices de fonds, des donateurs et donatrices, nos partenaires de recherche, des chercheurs et chercheuses, ainsi que des cliniciens et cliniciennes.
Sont résumées ci-dessous quelques avancées en matière de recherche et diverses études subventionnées récemment par notre organisme – une façon pour nous de souligner les progrès réalisés quant à la concrétisation de nos objectifs d’impact.
Amélioration des traitements et des soins
Optimisation du traitement de la SP chez la femme
La Dre Kristen Krysko, neurologue canadienne et chercheuse subventionnée par SP Canada, s’est vu décerner le Prix Rachel-Horne pour la recherche sur la SP réalisée par des femmes 2025. Ce prix international vise à souligner la contribution remarquable d’une scientifique à la recherche axée sur la compréhension et le traitement des questions de santé propres aux femmes en lien avec la SP.
La Dre Krysko a mis sur pied un programme de recherche clinique axé sur la santé des femmes et la grossesse au BARLO MS Centre, situé à Toronto.Par ses travaux de recherche, elle vise à optimiser les stratégies de traitement durant la période périnatale et à évaluer l’innocuité des traitements contre la SP avant et durant la grossesse ainsi que pendant l’allaitement. Cette chercheuse envisage l’exploitation des biomarqueurs sanguins de la SP comme un moyen de surveiller l’activité de la maladie durant la grossesse et d’aider les fournisseurs de soins de santé à identifier les femmes dont le risque de poussées est le plus élevé et à prescrire à ces dernières un traitement approprié. Les travaux de recherche d’avant-garde effectués par la Dre Krysko contribueront à l’orientation des soins et des mesures de soutien dont les femmes pourraient avoir besoin dans une période importante de leur vie. Apprenez-en plus sur le prix décerné à la Dre Krysko.
Mise à l’épreuve d’un outil prometteur au chapitre de l’autoprise en charge de la dépression dans le contexte de la SP
Nous avons conclu un partenariat avec la National MS Society, organisme états-unien de la SP, en vue du financement d’un essai dirigé par le Dr Robert Simpson (Université de Toronto) qui consistera à tester l’efficacité d’une intervention en ligne faisant appel à la thérapie cognitive basée sur la pleine conscience (cours virtuel baptisé Mindfulness-Based Cognitive Therapy) en ce qui concerne la prise en charge de la dépression, de l’anxiété et d’autres symptômes associés à la SP.
Le risque de dépression est plus élevé chez les personnes atteintes de SP qu’au sein de la population générale. Or, les traitements efficaces dont nous disposons en matière de prise en charge de la dépression ne sont pas toujours accessibles. S’il s’avère que l’approche du Dr Simpson donne des résultats satisfaisants, ce dernier élaborera un programme visant à permettre d’offrir du soutien au plus grand nombre possible de Canadiennes et Canadiens atteints de SP qui souffrent de dépression, programme que ces personnes pourraient suivre dans le confort de leur domicile et au moment qui leur convient. Apprenez-en plus sur l’étude du Dr Simpson.
Approche ciblant les anticorps nocifs en vue du traitement de la SP
Dans le contexte de la SP et d’autres affections auto-immunes connexes, le système immunitaire produit des protéines qu’on appelle autoanticorps, qui s’en prennent par erreur au système nerveux de l’hôte et endommagent celui-ci. Dans le cadre d’une étude financée par SP Canada, M. Luc Vallieres, Ph. D. (Université Laval), a découvert le potentiel prometteur d’un agent médicamenteux qui a la capacité de bloquer l’action de ces anticorps et qui, par conséquent, pourrait prévenir la détérioration des tissus nerveux qui est observée en cas de SP. Une meilleure caractérisation de ce médicament est nécessaire, mais si celui-ci s’avère efficace, l’étude dont il est ici question ouvrira la voie à de nouvelles façons de traiter la SP et d’autres troubles immunitaires connexes. Apprenez-en plus sur l’étude de M. Vallières.
Mise au point de traitements contre la SP progressive
Une nouvelle ressource en matière de données cliniques et d’imagerie en lien avec la SP a été lancée par l’International Progressive MS Alliance (Alliance internationale pour la recherche sur la SP progressive – l’Alliance), l’objectif étant de procurer aux milieux universitaire et scientifique la possibilité de consulter et d’exploiter d’importants corpus de données provenant d’essais cliniques. Cette ressource unique, qui est le fruit direct d’une initiative menée par le Dr Douglas Arnold et financée par l’Alliance, illustre le pouvoir de la collaboration entre scientifiques, cliniciens et cliniciennes, organismes nationaux de la SP, partenaires industriels et personnes atteintes de SP – dont le but commun est d’accélérer, d’une part, l’approfondissement des connaissances sur la progression de la SP et, d’autre part, la découverte de solutions contre la SP progressive. Apprenez-en plus sur cette ressource fascinante.
M. Wee Yong, Ph. D. (Université de Calgary), a reçu l’une des trois bourses d’exploration accordées cette année par l’Alliance. Dans le cadre d’une nouvelle étude, M. Yong aura recours à des modèles précliniques de SP afin d’établir si le salbutamol (médicament couramment utilisé contre l’asthme) et l’ibudilast (agent aux propriétés anti-inflammatoires) ont la capacité de promouvoir la remyélinisation en ciblant les cellules nocives de la microglie, dont la présence est souvent observée en cas de SP progressive. Le fait de financer des travaux de recherche à un stade d’exploration aussi précoce permettra la mise en place d’assises solides qui ouvriront la voie à la réalisation d’essais cliniques de plus grande envergure.Apprenez-en plus sur l’étude en question et d’autres travaux financés par l’Alliance.
Prévention de la SP
Dépistage précoce et prévention de la SP
Une nouvelle initiative internationale, coordonnée par SP Canada et MS Australia, est en cours et vise l’approfondissement des connaissances relatives aux facteurs de risque de SP et au dépistage ultra précoce de cette maladie – l’objectif ultime étant de permettre la découverte de moyens de prévenir la SP au profit des générations à venir. Cette initiative a été lancée officiellement alors que des chercheurs, chercheuses, cliniciens, cliniciennes, personnes atteintes de SP, et représentants et représentantes d’organismes de SP du monde entier se sont réunis à Lisbonne, au Portugal, plus tôt cette année, en vue de définir les priorités de recherche en ce qui a trait à la prévention de la SP. Informez-vous sur cette nouvelle initiative internationale. Pour en savoir plus sur les résultats du premier atelier international consacré à la prévention de la SP et sur les recommandations formulées à cette occasion, veuillez cliquer ici.
Nouvelles données sur les prodromes de la SP
Les prodromes sont des signes et des symptômes précoces non spécifiques qui se présentent des années avant qu’un diagnostic ne soit établi. Selon des observations faites récemment dans le cadre de travaux de recherche dirigés par Mme Helen Tremlett, Ph. D. (Université de la Colombie-Britannique), relativement à la phase prodromique de la SP et financés par SP Canada depuis un certain nombre d’années, le processus pathologique sous-jacent à la SP pourrait débuter beaucoup plus tôt que nous ne l’avions pensé – soit jusqu’à 15 ans avant la survenue des premiers symptômes neurologiques habituellement observés en cas de SP. Les travaux de Mme Tremlett mettent en lumière des axes à approfondir pour dépister la SP beaucoup plus tôt qu’à l’heure actuelle et ouvrent la voie à l’élaboration de stratégies de prise en charge efficaces de cette maladie. Apprenez-en plus sur ces travaux de recherche.
Criblage génétique destiné à l’identification de nouvelles cibles à exploiter en cas de SP
Une infection par le virus d’Epstein-Barr (VEB) constitue un facteur de risque de SP, et ce virus peut demeurer inactif au sein des lymphocytes B (cellules du système immunitaire) durant toute la vie des personnes qui en sont porteuses. Dans le cadre d’une nouvelle étude, le Dr Jack Greenblatt (Université de Toronto) fera appel à une nouvelle approche consistant à identifier et à cibler des protéines et des gènes précis qui sont essentiels à la croissance et à la survie des lymphocytes B infectés par le VEB. Cette étude pourrait mener à la découverte de nouvelles cibles thérapeutiques qui permettraient de traiter ou même de prévenir la SP en ciblant directement le VEB. Apprenez-en plus sur cette étude.
Révision des critères diagnostiques de la SP de McDonald
Les critères de McDonald consistent en un ensemble de lignes directrices destinées à aider les neurologues à poser, en temps opportun, des diagnostics de sclérose en plaques exacts. Un groupe de spécialistes du monde entier, y compris des scientifiques du Canada, ont procédé à la révision de ces lignes directrices de façon à ce que celles-ci reflètent les connaissances les plus récentes dont nous disposons maintenant quant à l’apparition et à la progression de la SP. Les critères diagnostiques ainsi modifiés permettront le recours à un nombre accru de méthodes diagnostiques et contribueront à l’accélération du dépistage de la SP et de la mise en place d’un traitement approprié, et, ultimement, à l’amélioration à long terme des résultats en matière de santé. Apprenez-en plus sur les critères révisés.
Compréhension et enrayement de la progression de la SP
Traitement non effractif prometteur susceptible de favoriser la réparation de la myéline en cas de SP
À l’issue d’une étude menée par Mme Verge, Ph. D. (Université de la Saskatchewan), des résultats encourageants ont été publiés relativement à une approche thérapeutique non effractive appelée hypoxie intermittente aiguë (HIA), qui consiste à réduire pendant de courtes périodes l’exposition à l’oxygène. Ces résultats montrent que ce type d’intervention peut réduire l’inflammation et favoriser la réparation de la myéline chez un modèle murin (souris) de SP progressive (il est possible d’en savoir plus à ce sujet en cliquant ici). Dans le cadre d’une nouvelle étude, la chercheuse et son équipe tenteront d’établir si l’HIA favorise la réparation de la myéline en régulant la fonction de la barrière hémato-encéphalique. L’étude en question est très prometteuse et pourrait mener à la mise au point de nouveaux traitements non effractifs contre la SP progressive. Apprenez-en plus à propos de cette étude.
Caractérisation d’un nouveau modèle murin de SP progressive
L’un des principaux défis auxquels nous faisons face en ce qui concerne l’étude de la SP progressive et la mise au point de traitements efficaces contre celle-ci tient au fait qu’il n’existe pas de modèle animal reflétant véritablement cette maladie chez l’humain. Le Dr Peter Stys (Université de Calgary) se penchera sur un modèle murin (souris) de SP progressive baptisé ND4 et fera appel à celui-ci pour mettre à l’épreuve un médicament prometteur dont on a démontré la capacité de limiter la détérioration et l’inflammation des tissus nerveux. Les travaux de ce chercheur pourraient aboutir à l’élaboration d’un modèle de la maladie plus fidèle et plus pratique pour l’étude de la progression de la SP. Apprenez-en plus à propos des travaux du Dr Stys.
Étude de l’impact du vieillissement sur la réparation de la myéline dans le contexte de la SP
À mesure qu’on avance en âge, la capacité du cerveau à réparer la myéline endommagée s’amenuise graduellement. Dans le cadre d’une nouvelle étude, Mme Samira Ghorbanigazar, Ph. D., chercheuse en début de carrière, tentera de déterminer si le raccourcissement des télomères, processus naturel lié au vieillissement, réduit les capacités des cellules censées produire et réparer la myéline. Les travaux de cette chercheuse pourraient faciliter l’élaboration de nouvelles stratégies favorisant la remyélinisation et permettant de ralentir la progression de cette maladie. Apprenez-en plus sur ces travaux.
Renforcement du bien-être
Troubles de la santé mentale chez les femmes atteintes de SP
Des scientifiques à l’œuvre au Canada et en Suède ont constaté que durant la période périnatale (soit pendant la grossesse et après l’accouchement), les femmes qui ont la SP peuvent présenter des besoins uniques au chapitre de la santé mentale. Dans le cadre d’une étude financée par SP Canada, ces scientifiques ont constaté des taux de dépression et d’anxiété beaucoup plus élevés chez les mères atteintes de SP durant la grossesse et la première année suivant l’accouchement, comparativement aux femmes exemptes de cette maladie ou vivant avec une autre affection chronique. Les résultats de cette étude pourraient permettre aux professionnels et professionnelles de la santé d’offrir des soins appropriés et efficaces, afin que les mères qui vivent avec la SP puissent recevoir toute l’aide nécessaire au moment où elles en ont le plus besoin. Apprenez-en plus sur cette étude.
Diversité de la population atteinte de SP au Canada
Les résultats préliminaires d’une étude financée par SP Canada, dirigée par la Dre Ruth Ann Marrie (Université Dalhousie), confirment que nous n’avons pas une bonne compréhension de la diversité parmi les gens du Canada qui vivent avec la SP. Il importe que les caractéristiques relatives à la diversité soient mieux communiquées et que davantage d’efforts soient déployés pour inclure les populations sous-représentées dans les études sur la SP. Le fait de combler ces lacunes permettrait d’assurer aux gens du Canada qui ont la SP un accès équitable à des traitements et à des soins de santé appropriés. Apprenez-en plus sur l’étude en question.
Amélioration de notre compréhension de la SP chez les populations sous-représentées
La Dre Nabeela Nathoo (Université de l’Alberta), chercheuse en début de carrière, tentera de déterminer s’il y a des particularités observables quant à la façon dont la SP se présente parmi les personnes noires ou d’ascendance africaine ou caribéenne atteintes de SP. Ses travaux porteront sur l’apparition d’incapacités graves et sur des caractéristiques observables à l’IRM telles que la détérioration des tissus du cerveau et de la moelle épinière. L’étude dont il est ici question pourrait ouvrir la voie à d’autres travaux de recherche sur l’issue de la SP au sein de populations invariablement sous-représentées dans le cadre des études canadiennes et permettre une amélioration de la prise en charge de cette maladie au profit de ces populations, ce qui contribuerait à une plus grande équité en matière de soins pour toutes les personnes atteintes de SP. Apprenez-en plus à propos de l’étude de la Dre Nathoo.
Prochaine génération de chercheuses et chercheurs spécialisés en SP
Nous avons à cœur de contribuer à l’édification d’une communauté scientifique canadienne diverse en soutenant les chercheuses et chercheurs spécialisés dans le domaine de la SP à chacune des étapes de leur carrière – qu’il s’agisse de stagiaires motivés des cycles supérieurs ou de chercheuses et chercheurs expérimentés ou en début de carrière.
Voici un aperçu de ce que certains des chercheurs et chercheuses que nous subventionnons ont accompli durant l’année écoulée.
Mme Atefeh Rayatpour, Ph. D., s’est vu décerner la toute première bourse de recherche stopSP Rebecca Scott Rawn dans le cadre de notre programme de bourses de personnel stopSP – en reconnaissance de son fort potentiel et de son engagement remarquable envers le domaine de la SP. Mme Rayatpour est une chercheuse passionnée qui contribue à façonner l’avenir de la recherche consacrée à la SP. Dans le cadre d’un stage d’études postdoctorales qu’elle effectue à l’Institut Hotchkiss de recherche sur le cerveau (Université de Calgary), sous la supervision de M. Wee Yong, Ph. D., Mme Rayatpour explore les mécanismes et processus complexes qui sous-tendent la SP. Elle espère ainsi contribuer à la mise au point de nouveaux traitements qui permettront de freiner la progression de cette maladie.
Concours annuel de bourses et de subventions
Dans le cadre de notre concours annuel de bourses et de subventions de recherche, nous avons attribué 50 bourses de personnel stopSP à des stagiaires qui terminaient leur projet de recherche doctorale ou postdoctorale dans le domaine de la SP.Nous avons aussi subventionné des scientifiques émérites en début de carrière qui, par leurs travaux, contribuent à l’avancement de la recherche sur la SP au Canada. Faites la connaissance de jeunes chercheurs et chercheuses qui entament leur carrière dans le domaine de la SP.
Programme national de formation stopSP
Nous sommes ravis d’appuyer le Programme de formation stopSP, dirigé par la professeure Christina Wolfson, Ph. D. (Université McGill), lequel propose des activités de formation et de réseautage aux stagiaires afin que ces derniers puissent perfectionner leurs connaissances et leurs compétences en matière de recherche sur la SP. Chaque année, ce programme offre une occasion d’apprentissage unique à l’occasion du cours d’été stopSP, qui s’est tenu cette année du 16 au 19 juin, sous la direction de la Dre Jennifer McCombe et de M. Jason Plemel, Ph. D., à l’Université de l’Alberta.
Le programme scientifique proposé aux participants et participantes était axé sur la façon dont les découvertes et l’innovation en matière de recherche – notamment en ce qui a trait aux vaccins, aux biomarqueurs et aux traitements – sont appliquées dans la pratique clinique et la prestation de soins. Cette année, le cours d’été stopSP a réuni 99 participantes et participants, parmi lesquels figuraient des stagiaires menant des travaux de recherche sur la SP, des conférenciers et conférencières, des animateurs et animatrices d’ateliers, des personnes atteintes de SP, ainsi que des bénévoles. Apprenez-en plus sur le cours d’été stopSP 2025. Vous pouvez aussi consulter le cyberbulletin consacré au Programme national de formation stopSP pour en apprendre davantage sur les activités qui ont été proposées cette année.
Quelle belle année ce fut! Les avancées dans le domaine de la recherche sur la SP n’arrivent pas par miracle – elles sont le fruit des efforts conjugués de notre remarquable collectivité de la SP.Votre fidèle soutien et votre détermination infaillible nous ont permis, encore cette année, de continuer à repousser les limites du savoir relativement à la SP. Ensemble, nous pouvons faire progresser les choses de façon à susciter de nouvelles découvertes – maintenant et dans les années à venir.
Pour tout savoir à propos des travaux de recherche sur la SP, lisez les Nouvelles sur la recherche et inscrivez-vous à notre bulletin trimestriel Recherche en action. Vous pouvez aussi vous reporter au Guide d’exploration sur la recherche consacrée à la SP pour savoir comment obtenir de l’information à jour à ce sujet!
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